nomades urbains

Dans ce travail, je traite de la ville comme d’un atelier, d’un logement provisoire, avec de nombreux événements simultanés et ambigus en ces temps dystopiques.
40% des sans-abri de moins de 25 ans sont des femmes et des filles.
J’ai du mal à en croire mes yeux.
Qu’est-ce qui est réalité, vérité, belles apparences ou abîme de cruauté ?
Ce leporello parle d’espaces architecturaux et intérieurs qui ont perdu leur équilibre.
Des peurs et des tentatives de comprendre et de gérer l’attraction des événements.

Les motifs d’outils sont imprimés au pochoir sur le papier, en blanc et en noir.
Par-dessus, des dessins au crayon de contours de tentes et de bâtiments dans tous les états d’agrégation sont posés.

Un travail avec beaucoup de mineur qui, selon mon professeur à l’Académie de Vienne, le professeur de philosophie Arnold Keyserling, redevient ainsi majeur et réconfortant.

Données techniques :

Il s’agit d’une pièce unique en technique mixte.

Les motifs sont des drones de toutes sortes. Sur ce calque sont appliqués des impressions au pochoir noir et blanc, de l’aquarelle et des dessins libres aux crayons noirs. Les peintures et les pigments sont liés à l’eau et neutres pour le climat.

Linogravure, pochoir et dessin libre en noir, blanc, vert, jaune, bleu et brun.
Partiellement collagé.

33,5 x 21,5 cm, format paysage, longueur totale 412 cm, 12 pages, recto-verso.

Couverture extérieure.

Les peintures et les pigments sont liés à l’eau et neutres pour le climat.

Le carton de 200 gr.
Le carton à dessin est sans acide.
Lieu de création : Munich et Berlin.
2023/24